«OUTDOOR SUMMIT»: RENCONTRE AU SOMMET AVEC LE NIKON D500
lundi, 12. septembre 2016
Les photographes de sport et d’extérieur suisses Rainer Eder et David Carlier se sont retrouvés cet été dans les montagnes suisses pour un projet photographique commun de sport d’action. Si les photographes et les sportifs participants avaient l’habitude de la vitesse et des actions fulgurantes, le Nikon D500 allait-il tenir la route? Le cinéaste Christoph Frutiger, qui accompagnait l’équipe de photographes, a filmé le projet en résolution 4K avec le Nikon D500.
L’objectif du projet photographique «Outdoor Summit» de Rainer Eder et de David Carlier était clair: prendre, en différents endroits (rivières, forêts, champs, rues), et dans les conditions de luminosité les plus diverses (lumière directe du soleil ou pénombre du soir), des photos d’action spectaculaires empreintes de la «touche suisse»; tout devait y être. Les deux photographes ont vite compris que les alentours d’Interlaken se prêtaient parfaitement au projet. Le décor de la Jungfrau aurait valu à lui seul le déplacement. Mais, cette fois ci, la montagne devait reculer à l’arrière-plan pour laisser la vedette aux sportifs.
Le shooting photo, qui a couvert trois types de sport (kayak, vélo et descente en skateboard), s’est déroulé sur trois sites différents. Le nouveau Nikon D500 était de la partie. Dès l’aube, Rainer Eder est descendu en rappel le long d’une cascade pour le shooting du kayak, seul moyen pour lui d’être au plus près du sportif. Eder savait qu’il devrait rester un bon moment dans son harnais d’escalade pour la prochaine prise de vues si la mise au point n’était pas correcte. Mais il n’était pas inquiet: «Avec ses 153 points AF, ses 99 capteurs en croix et une cadence de dix photos par seconde, rien ne peut vraiment mal tourner. Le risque de rater le sujet est quasi nul.»
Très compact, le Nikon D500 offre des avantages incomparables dans de nombreuses situations. La maniabilité, la légèreté et la rapidité sont en effet essentielles pour les photographes outdoor. David Carlier, qui séjourne souvent plusieurs jours en montagne, a déclaré, après avoir eu en main le Nikon D500: «Il est très important pour moi de limiter au maximum le poids de mon équipement. Le facteur crop de 1,5x me permet d’être encore plus près du sportif sans m’encombrer d’objectifs zooms, qui constitueraient un poids supplémentaire à emporter.» Contrairement au poids, la technologie intégrée ne laisse guère de place au compromis. Un système de mise au point automatique performant est notamment primordial pour les prises de vues sportives ou lorsque les conditions de luminosité sont réduites. La scène avec le kayakiste ne dure qu’une fraction de seconde et ne peut être répétée qu’au prix d’un retard important. Dans le cas d’un basejumper, elle ne peut généralement l’être que le lendemain. Rainer Eder a déclaré à ce propos: «Je dois pouvoir compter pleinement sur mon appareil. Ce que le Nikon D500 apporte en termes de caractéristiques est extraordinaire. Il me facilite énormément le travail.»
Pour l’un des acteurs de ce shooting, la fin de ce week-end n’était que le début d’un gros travail. Le caméraman Christoph Frutiger a tout filmé avec un Nikon D500 en résolution 4K: «Un reflex numérique si compact doté de cette technologie me permet d’être extrêmement réactif, mais aussi beaucoup plus flexible, ce que je dois aussi au moniteur orientable et aux optiques très lumineuses. Je peux choisir des angles de vue bien plus créatifs, me décaler rapidement, et contrôler en permanence la netteté». Pour nous donner un aperçu tout à fait exclusif des coulisses du projet, il a réalisé un film de sept minutes à partir des vidéos prises, qu’il a baptisé «Outdoor Summit».
À propos des photographes:
Les prises de vues d’escalade spectaculaires ne sont pas la seule marque de fabrique de Rainer Eder. Résidant en Suisse depuis plus de 20 ans, cet Autrichien de naissance photographie tout ce qui a trait aux sports extrêmes. Les très nombreux projets qu’il a réalisés avec des basejumpers, des speedflyers ou des kayakistes, mais aussi les shootings effectués pour des marques outdoor reconnues lui ont montré à quel point il est important d’avoir le bon appareil: «Le Nikon D500 est extrêmement rapide, précis, et doté de caractéristiques similaires au Nikon D5, tout en étant léger et maniable. Que demander de plus quand on est photographe? Le résultat de notre shooting dans les montagnes suisses parle de lui-même.»
Si on demandait à David Carlier où il se sent le mieux, il répondrait sûrement: «dans la nature». Ses photos sont très expressives. Ses projets l’amènent aux quatre coins du monde, et, dans chaque situation, il prouve à quel point il a le sens de l’esthétique. La combinaison de diverses techniques photographiques confère à ses clichés leur caractère unique. Ce shooting où David Carlier a réussi des prises de vues exceptionnelles avec le Nikon D500 en utilisant habilement plusieurs flashes, en est un nouvel exemple.
Ces dernières années, Christoph Frutiger a acquis une solide réputation de caméraman indépendant en Suisse, comme à l’étranger. Il a prouvé son savoir-faire non seulement dans le cadre de diverses productions étrangères, mais aussi lors de nombreux shootings d’action réalisés dans les Alpes suisses, tel celui réalisé avec le Nikon D500 où il offre une vision tout à fait exclusive de ce qui se passe en coulisse. Christoph Frutiger nous montre qu’il maîtrise à la fois l’art du tournage et de la mise en scène. Le résultat: des scènes d’action à couper le souffle, magistralement théâtralisées, du grand art cinématographique – le tout réalisé avec le Nikon D500.
